-Bonjour et bienvenue dans ce nouvel épisode du podcast de l'OIT
sur l'avenir du travail.
Je suis Guebray Berhane et aujourd'hui
nous allons tout simplement nous consacrer
aux Jeux Olympiques d'été qui vont débuter le vendredi 26 juillet 2024.
Vous le savez, le sport est au cœur de l'activité mondiale.
Il n'y a pas d'événement sportif plus important
que les Jeux Olympiques.
Tous les yeux sont rivés sur Paris et la France
qui abritent les multiples épreuves jusqu'au 11 août,
mais les JO 2024,
c'est aussi 32 sports au programme, 35 sites de compétition,
une cérémonie d'ouverture grandiose qui a eu lieu sur la scène,
une première dans l'histoire des Jeux Olympiques et enfin,
un accent particulier sur l'héritage social
et environnemental des jeux.
Aujourd'hui, pour ouvrir grand ces jeux,
nous avons le plaisir d'accueillir Marie Barsacq,
directrice de l'impact et de l'héritage pour le comité d'organisation
des Jeux Olympiques et paralympiques Paris 2024.
Ensemble, nous allons explorer comment les Jeux Olympiques peuvent être
un catalyseur de changement social et économique,
en mettant l'accent sur le travail décent et l'héritage durable.
Marie, Bienvenue dans notre podcast.
-Bonjour.
-Pouvez-vous nous expliquer comment l'OIT collabore
avec les Jeux Olympiques depuis 1992
pour promouvoir les principes du travail décent
et quels sont les objectifs principaux de cette collaboration pour Paris 2024 ?
-Paris 2024 dès la période de candidature, c'est rapprocher
des organisations professionnelles et notamment du représentant
à l'époque de la CGT à Hilo,
votre bureau international, à l'OIT.
Pour dire les choses très clairement,
nous avions en candidature besoin de rassurer
les membres du CIO sur la capacité de la France à organiser
un événement avec l'engagement de toutes les parties prenantes,
y compris des partenaires sociaux.
Vous connaissez notre réputation à l'international autour des grèves,
donc nous avions un enjeu assez fort sur ce sujet
et le dirigeant coprésident de Paris 2024 à l'époque,
Bernard Lapasset, connaissait bien Bernard Thibault.
Tous les deux avaient imaginé l'idée d'une charte sociale pour s'assurer
que Paris 2024, dans le cadre de l'Organisation
de cet événement mondial, serait respectueux
des droits sociaux des salariés, mais aussi porterait
la responsabilité sociale d'un tel événement à haut niveau
et prendrait des engagements forts sur ce sujet.
C'est comme ça qu'une première charte sociale
avait été signée en candidature
en 2017 à l'époque,
avec les cinq organisations représentatives des salariés en France
et les trois organisations représentatives des employeurs en France.
-D'accord. Paris 2024 a une vision unique
pour son héritage, je le signalais un peu plus tôt.
Est-ce que vous pouvez nous en dire un peu plus
sur ce que le comité d'organisation souhaite laisser
comme héritage au-delà de l'aspect sportif ?
-Oui, vous avez tout à fait raison de souligner.
Le projet de Paris 2024 est basé sur deux piliers.
Des jeux spectaculaires, une fête à événement sportive incroyable
pour célébrer les athlètes et les sports, mais aussi des jeux plus responsables
en matière environnementale, en matière sociale,
des jeux utiles pour notre pays.
C'est à cette condition qu'on peut organiser maintenant
un grand événement dans un pays, puisque la population attend
de ce grand événement de s'engager sur ces sujets-là pour que ces Jeux
aient un impact positif pour la population locale.
On a beaucoup travaillé sur ce sujet et notamment pour avoir des résultats
même en amont des jeux.
Ça aussi c'était un sujet très important, de lancer cette dynamique
et d'avoir des résultats avant les Jeux pour au moment des Jeux
justement quand les coûts projecteurs arrivent Paris 2024,
qu'on puisse démontrer qu'on a été les plus responsables possibles
sur ces enjeux environnementaux et sociaux.
-D'accord. Si on parle de la ville de Paris,
comment est-ce que ces Jeux ont-ils transformé
ou transforment-ils la ville en tant que telle ?
-On a beaucoup travaillé avec la ville de Paris,
mais aussi avec le département de la Seine-Saint Denis
parce que dès la candidature,
quand nous avons construit ce projet, nous nous sommes dit
que pour que ces jeux soient utiles, ils devaient aussi être utiles
à un territoire qui en avait le plus besoin,
et ce n'était pas forcément Paris
et la maire de Paris était tout à fait alignée
avec cette vision, c'était la Seine-Saint-Denis,
un territoire dans la dans le nord de Paris
qui est à la fois le plus pauvre de France
mais aussi le plus jeune de France.
Un territoire qui avait besoin que les Jeux puissent jouer
un rôle d'accélérateur pour d'une certaine façon,
sur certains sujets, rattraper dans un certain nombre de domaines
et notamment dans le domaine économique, social,
des sujets pour arriver à la moyenne nationale en France.
C'est comme ça qu'on a beaucoup travaillé
à construire les seuls équipements que nous construisons qui sont
en Seine-Saint-Denis, et ils répondent d'abord
à des besoins locaux, des besoins de la population.
On a construit deux villages.
Village des athlètes, villages des médias.
Ces villages ont été pensés comme des quartiers d'habitation
pour des besoins locaux qui manquent de logement,
et des quartiers de vie avec des bureaux,
des écoles, dépôts pour faciliter le désenclavement
de certains quartiers en Seine-Saint-Denis.
Un héritage matériel répondant aux besoins des habitants.
C'est aussi 20 équipements sportifs, 18 bassins qui ont été construits
ou rénovés pour je vous le disais, rattraper
ces retards qui avaient été pris en matière d'équipement
en Seine-Saint-Denis.
Le deuxième équipement qu'on a construit c'est un équipement sportif.
C'est le centre aquatique et là aussi, ça répondait
à un enjeu fort de besoin de piscine dans ce territoire.
Là, comme pour le village, on a pensé d'abord une piscine municipale.
Une piscine qui répond aux besoins de la population locale
qui est upgradée, qui est améliorée
avec des gradins temporaires le temps des jeux.
Des gradins qui seront désinstallés au lendemain des Jeux pour laisser
maximum d'espace à la population locale pour profiter de cette piscine.
-D'accord. Vous venez de le souligner,
la Charte sociale de Paris 2024,
c'est un élément clé de ces jeux.
Est-ce que vous pourriez nous expliquer les principaux éléments de cette Charte
et puis comment est-ce qu’elle lie les jeux à des objectifs plus sociaux,
notamment le travail décent qui est cher à l'OIT,
l'Organisation Internationale du Travail ?
-Oui, cette charte sociale, c'est 16 engagements
qui sont extrêmement précis, qui nous ont guidé toutes ces années,
donc depuis 2018, pour avoir des résultats sur chacun d'entre eux.
On peut les regrouper sous plusieurs axes.
Il y a des engagements autour effectivement du travail décent
et des conditions de travail.
S'assurer qu'à l'occasion des jeux,
les travailleurs des jeux auront des garanties en termes de sécurité.
Il y a des constructions,
des travailleurs qui ont travaillé sur la construction du village
que j'évoquais tout à l'heure, construction du CAO.
Là, il y a tout un tas d'engagements sur ce sujet.
Ensuite, il y a des engagements autour du développement économique.
S'assurer que les Jeux seront des opportunités économiques pour les TPE,
PME, pour les entreprises de l'économie sociale
et solidaire, pour les entreprises locales.
Ça aussi, c'était des engagements assez forts.
Des engagements aussi autour de l'emploi, pour que les opportunités d'emploi
qui allaient être générées grâce aux Jeux puissent s'adresser en priorité
aux demandeurs d'emploi,
aux personnes en situation de handicap, qui ont deux fois plus de mal en France
que les autres pour trouver un emploi.
Également, les dernières mesures concernent
l'accès à la pratique sportive.
Comment aussi les entreprises,
au lendemain des Jeux et même avant,
peuvent encourager, proposer
des pratiques sportives sur le lieu de travail,
sur le temps de travail, pour que les salariés soient
en meilleure santé.
C'est autour de ces engagements que nous avons construit
un certain nombre de programmes qui aujourd'hui ont porté leurs fruits
et qui nous permettent de dire que la Charte sociale a été vraiment
un driver,
un fil conducteur pour nous pendant toutes ces années pour viser
l'excellence et être ambitieux sur ces sujets.
-D'accord. Vous avez parlé énormément de construction
et vous venez de mentionner aussi l'inclusion des petites entreprises
et des entreprises de l'économie sociale et solidaire
dans ces contrats olympiques.
Je voudrais vous demander
quels étaient peut-être les principaux obstacles
à surmonter et puis surtout, les résultats concrets
que vous avez obtenus en termes d'amélioration des conditions d'emploi ?
-Les obstacles qu'on a rencontrés quand on parle des opportunités d'emploi
ou opportunité économique pour les entreprises,
c'est de faire comprendre à ces entreprises,
à ces demandeurs d'emploi qu'il y a de la place pour eux,
ou faire des opportunités d'ailleurs notre slogan,
c'est les Jeux grand ouverts, ouvrons grands les Jeux.
On a travaillé à communiquer autour de nos opportunités économiques
pour ce qui est des marchés à l'attention des TPE, PME.
On a organisé des centaines de meetup,
notamment beaucoup en Seine-Saint-Denis pour que les entreprises Seine Saint-Denis
puissent bénéficier d'un impact économique de ces Jeux.
C'est souvent les TPE, PME qui créent de l'emploi aussi
donc c'était important de leur dire que oui,
c'est possible, il y a de la place pour elles.
On a beaucoup travaillé à cartographier nos opportunités de marché
en expliquant quels marchés vont être lancés,
dans quel timing,
comment ces entreprises peuvent répondre à nos marchés.
On a mis deux dispositifs en place, un pour les TPE,
PME, entreprises 2024.
Un autre dédié aux entreprises, à l'économie sociale et solidaire,
ESS 2024, qui ont véritablement accompagné dans la durée toutes ces entreprises
pour qu'elles remportent nos marchés.
Aujourd'hui, rien que sur ce volet-là,
c'est d'abord 90 % d'entreprises françaises
qui ont remporté nos marchés.
Au global, je ne l'ai pas dit, mais c'est important peut-être
de le dire maintenant, c'est une opportunité
de 2,5 milliards d'appels d'offres que nous avons lancée sur la période.
C'est quand même beaucoup. -Ce' nest pas mal.
-90 % des entreprises sont françaises, 79 % sont des TPE-PME.
À l'intérieur de ces entreprises,
on a 500 entreprises de l'économie sociale et solidaire.
Ça, c'est vraiment des résultats qui sont très concrets.
On a notamment des marchés emblématiques qui ont été remportés par des ESS,
je pense aux entreprises qui vont opérer les laveries solidaires
au village des athlètes, qui vont laver le linge des athlètes.
Ce sont des structures d'insertion par l'activité
qui recrutent exclusivement des demandeurs d'emplois ou des personnes
en situation de handicap.
C'est des centaines d'emplois qui ont été quand même générés
sur ce marché.
C'est quand même assez révélateur de ce qui peut être possible.
Jusqu'à maintenant, ce type d'entreprises de l'économie sociale
et ne pensait pas que les marchés des jeux,
c'était fait pour elles.
Sur les TPE-PME, on a aussi de très belles histoires
et surtout, on a déjà des entreprises qui ont remporté nos marchés,
qui commencent à gagner
d'autres marchés forts de leurs démonstrations,
de leurs savoir-faire à l'occasion des marchés des jeux.
C'est pour elles une très belle carte de visite,
parce que contrairement à d'autres appels d'offres,
ceux de Paris 2024 sont extrêmement contraignants,
notamment au regard du temps, puisque nous,
les jeux, on savait que ça commencerait le 26 juillet.
Il n'est pas question de déborder.
Les exigences, notamment de timing, étaient extrêmement importantes donc,
les TPE, PME, les ESS qui font la démonstration
qu'elles sont au rendez-vous,
peuvent demain dégoter d'autres marchés, évidemment.
Sur le volet de l'emploi, on a procédé
avec la même méthode.
On a cartographié les emplois en 2019.
On a même révisé cette cartographie des emplois en 2021,
après la crise de la Covid.
Ça nous a permis d'identifier 181 000 emplois mobilisés
pour organiser les jeux et de travailler surtout pour faire
cette cartographie et dans le temps avec toutes ces branches professionnelles
qui sont mobilisées,
dans les secteurs de la construction autour de 30 000 emplois,
le secteur de l'événementiel autour de 80 000 emplois
et le secteur du tourisme autour de 60 000 emplois.
On a travaillé avec elles pour identifier clairement les besoins.
On a réalisé des fiches métiers,
une vingtaine de fiches métiers très précises,
pour permettre
structures comme Pôle emploi, France Travail
ou des structures d'insertion par l'activité de facilitateurs,
de convaincre des demandeurs d'emplois souvent éloignés,
même depuis longtemps de l'emploi de s'engager
pour occuper les emplois des jeux,
mais avec des perspectives au-delà des jeux,
avec des perspectives de carrière.
Ces fiches métiers montrent vraiment en détail quels sont les besoins
sur l'emploi occupé,
mais aussi, quelles sont les formations dont on a besoin
et quelles sont les perspectives d'évolution de carrière.
On a beaucoup travaillé avec la région Île-de-France
pour connecter le plan de formation directement
à ces opportunités d'emploi
pour que les formations soient bien enclenchées suffisamment
en amont des recrutements, pour que les bénéficiaires
soient les demandeurs d'emploi et qu'ils aient le temps de se former
et se former d'ailleurs,
même un peu plus que pour le socle, le besoin des jeux,
pour développer leur employabilité après les jeux.
Ça, ça a été un gros travail aussi d'harmonisation
entre la formation et l'emploi.
Vraiment, les opérateurs
des formations et France Travail ont été extrêmement utiles sur ce sujet.
Puis, nous avons créé un dispositif assez innovant pour,
de la même façon toujours, ouvrir les opportunités d'emploi
au maximum pour les demandeurs d'emploi en créant plus de coordination
entre les agences de Pôle emploi locales, de France Travail local,
les facilitateurs qui sont des structures dans les territoires
qui aident les entreprises à recruter des demandeurs d'emploi
et les missions locales aussi qui travaillent avec des demandeurs
d'emploi de longue durée ou très éloignés de l'emploi.
En fait, une entreprise, classiquement,
elle a ces trois types d'interlocuteurs
avec lesquels travailler, ce qui n'est pas toujours simple.
Là, on a trouvé un interlocuteur unique
qui a permis à ces entreprises d'aller beaucoup plus vite dans les recrutements.
Dès que nous avons notifié un marché, tout de suite,
nous avons mis en relation un de ces opérateurs
avec notre entreprise pour ces besoins d'emploi.
Aujourd'hui, je n'ai pas le chiffre, évidemment,
des recrutements.
On les aura à l'issue des jeux.
Nous n'avons pas encore fini la collecte.
Elle sera faite en septembre, mais on sait d'ores
et déjà qu'il y a eu beaucoup de recrutements
et que ce dispositif a été très utile
pour les entreprises prestataires de Paris 2024.
-D'accord. Vous avez fait une petite amorce sur l'avenir.
Question par rapport aux conseils que vous pourriez donner peut-être
aux futurs organisateurs olympiques pour qu'ils poursuivent
ces initiatives sociales telles que la charte sociale.
Qu'est-ce que vous pourriez leur conseiller ?
-Peut-être que je peux leur conseiller trois choses.
La première, c'est de prendre des engagements et d'être ambitieux.
Je crois que la charte sociale,
sa première réussite, c'est ça, c'est d'avoir pris des engagements,
d'avoir forcé d'une certaine façon les parties à s'engager sur 16 thèmes,
mais aussi d'avoir été ambitieux dans ces engagements.
Ça nous a vraiment tiré vers l'excellence et permis aussi d'innover.
Quand on est ambitieux, pour y arriver on est obligé d'innover.
Le deuxième sujet, c'est de consacrer du temps
à ces sujets-là.
Le comité de la charte sociale qui a été mis en place
au lendemain de la signature de la charte sociale
s'est réuni pendant quatre ans tous les deux mois.
Puis, depuis un an, il se réunit tous les mois.
C'est exigeant pour une direction comme la mienne d'avoir des collaborateurs
dédiés à ces questions et puis d'y consacrer du temps,
mais c'est absolument nécessaire pour avancer et pour faire progresser
ces sujets.
Puis, le troisième conseil, c'est l'anticipation.
Mettre en place le dispositif et la stratégie et les programmes,
les projets très en amont.
Ce que je vous disais tout à l'heure, ces cartographies des achats,
des emplois ont été extrêmement structurantes
pour nous permettre de dialoguer avec France Travail,
avec nos entreprises prestataires,
avec les acteurs économiques des territoires.
Si on n'avait pas eu ces données-là,
si on n'avait pas anticipé les besoins et faire connaître ces besoins,
on n'aurait pas pu avoir les résultats que nous avons aujourd'hui.
Je crois que c'est ces trois conseils que je donnerais
aux prochains organisateurs.
-Très bien.
Si vous deviez partager avec nos auditeurs,
par exemple, une anecdote ou un moment très fort qui illustre
l'impact positif que ces Jeux olympiques de Paris 2024
ont déjà eu sur le monde du travail en France,
qu'est-ce que ce serait ?
-Nous avons organisé des forums emploi
pour justement partager
très concrètement les opportunités d'emploi des Jeux
où toutes nos entreprises prestataires venaient recruter.
On en a organisé un, notamment au mois de septembre,
au village des athlètes, aujourd'hui, ce qui est
le restaurant du village des athlètes, à l'époque,
c'était encore en chantier.
Nous avons reçu 10 000 demandeurs d'emploi ce jour-là.
Il y avait une soixantaine d'entreprises prestataires
de Paris 2024 qui recrutaient.
J'ai passé du temps dans les allées et j'ai vu les yeux
des demandeurs d'emploi écarquillés, se disant :
« Oui, il y a vraiment un emploi, c'est pour de vrai.
Je vais pouvoir travailler pour les Jeux olympiques de Paris 2024. »
Je crois que ça, pour moi, ça a été
un moment fort parce qu'on avait vu grand, on avait été ambitieux sur ce forum.
C'est vrai qu'on a été ravis des résultats puisque beaucoup de recrutement
et de promesses d'embauche ont été signées ce jour-là.
Je crois que quand on voit l'impact très concret,
puisque l'emploi,
c'est quand même un outil d'émancipation important.
C'était réconfortant et on s'est dit qu'on ne s'était pas trompés en signant
cette charte sociale.
-Magnifique.
Marie Barsacq, un grand merci à vous.
Je rappelle que vous êtes directrice de l'Impact
et de l'Héritage pour le Comité d'organisation
des Jeux olympiques et Paralympiques Paris 2024.
Merci pour ces points de vue fascinants sur votre partage
et sur l'héritage social des Jeux.
Chers auditeurs, si vous avez apprécié ce podcast,
n'hésitez pas à le partager et à nous laisser vos commentaires.
Vos retours sont très précieux pour nous aider à améliorer constamment notre contenu.
Merci à vous aussi pour votre temps, pour votre attention.
N'hésitez pas à rejoindre le prochain nouveau podcast
sur l'avenir du travail.
En attendant, vous pouvez toujours nous retrouver sur les plateformes des réseaux sociaux,
notamment LinkedIn, X et Instagram,
où nous continuons la conversation sur l'avenir du travail et l'impact
des grands événements comme les Jeux olympiques.
À la prochaine donc, et jusque-là,
je vous dis au revoir et à très bientôt.